Makila

Makila, en lingala, signifie "le sang"...

Mais ce n’est pas un parfum de violence — c’est un parfum de lien.
De ce lien viscéral, profond, indéfectible. Comme une promesse tatouée sur la peau.
La bergamote et la poire ouvrent le bal avec une tendresse fruitée, comme un frisson
au creux du cou.

Puis surgit un cœur floral incandescent : jasmin, tubéreuse, fleur d’oranger.
Des fleurs blanches sensuelles, gorgées de lumière, qui battent au rythme d’un cœur
qui s’emballe.

En fond, le patchouli se mêle à la vanille et au vétiver pour dessiner un sillage chaud,
vibrant, presque animal.

Makila ne dit pas « je t’aime », il dit « je t’appartiens ».

Il parle de fusion, de passion ancienne, de serment brûlant.
C’est un parfum magnétique, intime, qui attire et retient.
Un lien invisible, mais charnel.

Makila, c’est la sensualité du sang qui parle avant les mots.